Un court message aujourd'hui pour signaler que notre blog est repris par un média du net, UP magazine, qui compte 90000 lecteurs et voici aussi pour rappel le lien vers l'article original. Cette reprise concerne notre futurologue de TEDxLaDéfense, Geneviève Bouché.
Ceci m'amène à vous faire part de deux décisions afin de conforter le travail entrepris dans ce blog dans l'idée de donner à mes parutions une plus grande spécialisation et peut-être une audience supérieure. Divers événements récents que je n'ai pas relatés ici me confortent dans l'idée de développer une communication plus spécialisée, "alternative", professionnelle, vécue, argumentée ...
Je vous annonce donc que je vais reprendre sur le blog de TEDxLaDéfense la parution d'articles concernant les suites de cet événement. Cela signifie des brèves autour de TED, TEDx et de nos intervenants, de l'équipe de bénévoles et de nos visiteurs en fonction de leur propre activité. Puisque TED propose de changer le monde, qu'avons nous faits les uns et les autres en matière d'humanisme et de profit depuis ?
En outre, je vais lancer très prochainement un blog dédié à des expériences touchant à une forme d'écologie concrète où seront relatés des cas vécus permettant de mettre en avant des économies et des améliorations environnementales. Au passage, nous parlerons aussi de la manière dont les média traditionnels traitent ou ne traitent pas de ces sujets.
Le Dire et le Faire continuera à proposer des billets sur d'autres thèmes comme ce fut le cas dans les derniers articles. Je vous y parlerai de projets d'édition ou de sujets qui me sont chers dans le domaine de l'enseignement ou de la médiation notamment.
L'enfer est pavé de bonnes intensions dit-on. Voici une courte illustration de ce phénomène dans nos sociétés modernes ... en fin de vie. Le point de départ est une bonne vidéo de témoignages élaborant ce qu'est "l'accompagnement" dans le domaine de l'éducation.
Cette vidéo et mon commentaire sont tirés d'un excellent blog que je suis de plus en plus régulièrement, celui de Bernard Lamailloux qui se consacre à l'enseignement et à la formation en y introduisant une foule d'astuces de présentation et d'accroches:
Le contenu:
L'accompagnement est une manière non d'imposer mais d'orienter et de responsabiliser l'élève. Nous sommes d'accord et il n'y a rien à redire à ces témoignages dans leur contexte.
Zoom arrière:
Extraits de mon commentaire volontairement un peu décalé sur le blog de Bernard Lamailloux:
"...(il) existe un autre aspect que bénéfique à cette volonté d’accompagnement généralisée … Et pas seulement en pédagogie. Ce mot figure en effet en très bonne place dans le très pauvre vocabulaire de la novlangue « soft » et positive qui préfère caresser que heurter. Or cette langue « soft » devient vite soit inopérante à force de mollesse et de normalité mièvre soit le refuge du stratagème. Celui-ci est dit « d’influence » quand il reste bienveillant (comme dans ce que propose la vidéo). C’est comme cela qu’opèrent certaines thérapies.
Le stratagème devient « manipulation » quand il est négatif. C’est comme cela que fonctionnent les escroqueries, je vous ferai part de la sortie d'un prochain livre sur le sujet. Il est donc important de rester vigilants.
Tout le monde accompagne désormais tout le monde : les profs accompagnent les élèves soit et … les services sociaux accompagnent les familles en difficultés, les collectivités locales accompagnent les entreprises qui s’installent sur leur territoire, les sponsors accompagnent les organisateurs d’un événement, les investisseurs accompagnent les créateurs d’entreprises, les fournisseurs accompagnent leurs clients … L’armée française accompagne le Mali. Et le Président accompagnera le gouvernement qui accompagnera les ministères qui accompagneront les citoyens … Le futur pape, en bon pasteur, accompagnera sans doute le reste de son troupeau de croyants. Bientôt on dira que les flics accompagnent les prévenus en garde à vue !
A force de s’accompagner ainsi les uns les autres, il serait utile que, la main dans la main et avec la plus parfaite bonne foi et la plus grande bienveillance, nous nous demandions vers où nous nous accompagnons tous ainsi !"
En quoi sommes-nous concernés ?
Tous accompagnants ou accompagnateurs donc, pourquoi pas ? A condition que les rôles et le cap soient clairs car si les mots changent, les réalités, elles, demeurent." Or les réalités ne peuvent toutes tolérer longtemps une attitude seulement positive, seulement bienveillante, seulement douce. Pour l'instant nombre de violences restent souvent encore sous les seuils du radar ... Seulement à long terme, la bienveillance sans la vigilance conduit à l'illusion de l'adaptation.
L'accompagnement du changement est un de ces mots-valises que j'ai côtoyés voire utilisés professionnellement. Or la réalité peut devenir brutale et l'accompagnement "soft" devenir illusoire. Cette pensée de l'accompagnement des crises en douceur est au pouvoir depuis des décennies. Par exemple à propos des choix budgétaires, parfaite illustration d'une politique d'accompagnement: augmentation classique des impôts ; économies de dépenses, c'est classique, insuffisant et jamais fait. Le tout doit se résumer à un peu moins de dépenses pour un peu plus de recettes et ainsi contenir (sans la diminuer donc sans rien résoudre) l'inflation des intérêts de la dette. Un peu plus d'une solution qui n'a jamais marché. Or que commence-t-on à entendre timidement ? Ne faudrait-il pas tout simplement abandonner certaines missions de l'Etat ? Autrement dit couper dans le vif ! Pas seulement accompagner: rompre enfin !
Pour finir, j'ajoute avec respect que la photo du début est tirée d'un site dédié à "l'accompagnement de la fin de vie" et je vous propose de méditer la devise de ce site:
« Ne sais-tu pas que la source de toutes les misères pour l’homme ce n’est pas la mort,
mais la crainte de la mort ? » Epictète (50 – 125 après J. C.)
Dans mon dernier article, je vous parlais de la loi de Godwin à l'occasion d'une altercation par mail avec un inconnu. Cette histoire me donne l'occasion de creuser un peu en partageant un concept courant dans les relations 2.0 et dans la vie réelle. (La photo du ténébreux de droite n'est pas celle de mon inconnu ... c'est celle de Stephen Karpman !).
Le triangle dramatique
Peu importe la cause réelle de l'ire de mon quidam et qui l'a conduit à me traiter de nazi. L'important est que cette histoire m'a remis en mémoire le "triangle de Karpman" qui sert en Analyse Transactionnelle notamment à décrypter des situations de harcèlement, de manipulation et de conflit en général.
Voici une représentation du triangle modélisé par Karpman dès 1968 et empruntée à un blog français (enquête de sens) que j'apprécie pour sa clarté:
Source: blog "enquête de sens"
Le piège du triangle dramatique appliqué à une situation simple :
Sans doute mon inconnu s'est-il senti légitimement (à ses propres yeux) agressé par mon attitude méfiante. Peut-être a-t-il revécu sincèrement une situation pénible pour lui et a-t-il endossé le rôle de la VICTIME ?
Ou peut-être a-t-il senti que sa prospection ayant échoué, il pouvait se défouler ou se donner le beau rôle en me collant le timbre de ce qu'il dit détester le plus et jouer au SAUVEUR ? Il se disait expert de tas de choses et brandissait les traités européens
sur la tolérance pour pacifier obligatoirement les
consciences...
Bien vite donc, emporté par ses émotions non assumées, il a alors endossé un rôle qui est le seul que j'ai perçu sur le moment (du fait du choc émotionnel en retour provoqué chez moi: surprise, étonnement, indignation ...) celui du PERSECUTEUR qui insulte, agresse et menace de façon déplacée. Voici ce que dit un autre coach du rôle du persécuteur:
"Ne nous y trompons pas... il cache une personne pétrifiée de trouille face aux relations. C'est souvent (une victime ou) un sauveur déçu qui, ne sachant plus comment s'y prendre, emploie la manière forte..."
Après réflexion, ma position est devenue: prenons acte de tous les délires sans pour autant y accorder d'autre intérêt que ... pédagogique. Voici pourquoi et comment.
Pour en sortir: reconnaissance et refus ferme
Dès que se met en place un début de harcèlement, il y a bien vite une tentative d'inversion des rôles. La "victime" du harcèlement est immédiatement accusée et sommée de mettre fin à des agissements qui sont en fait ceux du harceleur. C'est ce qui peut rendre la tâche d'un juge assez complexe quand les choses ont dégénéré et qu'il est impossible d'en démêler les fils. Avant d'en arriver là; se trouve parfois une petite place pour le médiateur qui est théoriquement mieux formé que le juge à éviter les pièges du triangle dramatique ...
L'important est de refuser d'entrer dans les rôles du triangle, tous sont perdants. Endosser le rôle assigné de victime soumise sera perçu par la partie adverse comme un signal invitant à plus de violence. La surenchère violente, à l'inverse, vous ferait entrer dans le rôle d'un persécuteur ce qui est un piège encore plus évident que l'on vous tend. Quand au sauveur, il finit souvent épuisé et très frustré.
Les spécialistes de l'Analyse Transactionnelle insistent sur la non-défense (et non-attaque): une attitude de reconnaissance de la situation et de refus ferme d'entrer dans le triangle. Quand on parvient à démontrer que l'on reste à distance du triangle, cela rend alors le jeu beaucoup moins drôle ! Et l'on peut enfin revenir au vrai sujet.
Seulement dans la vie quotidienne, on ne peut pas toujours éviter un fâcheux. Il peut être un proche: un collègue, un client, un patron, un important partenaire de négociation.
Les fâcheux du net nous offrent gratuitement un vaccin anti triangle dramatique !
Dans mon histoire, il a été facile de couper court à l'échange et de supprimer l'inconnu de ma liste de contacts. Ce cas-là était facile à gérer car sans implication réelle et pourtant tous les ingrédients classiques que décrivent les coachs étaient bien là et il n'est pas douteux que le quidam adopte dans la vie réelle les mêmes postures dès que son interlocuteur commence à réfléchir par lui-même... Un individu sans doute aussi toxique à la ville que par mail. A éviter donc. Et c'est pour cela que je saisis l'occasion, car tout est plus compliqué dans la vie réelle. Voici donc ce que je propose:
Mon hypothèse est que les gens qui se défoulent sur le net, se croyant à l'abri, jouent constamment ces exacts mêmes rôles qu'ils jouent en face à face. Plutôt que de seulement les "zapper" (ce qui est légitime), observons gratuitement les mécanismes en jeu alors que nous pouvons y couper court à tout moment pour apprendre à tenir les fâcheux à distance quand nous les avons en face à face. Au lieu de seulement les stigmatiser et comme nous ne pouvons pas les éviter (loi de Godwin), servons-nous de ces études de cas à ciel ouvert comme d'entraînements pour éviter de tomber dans le jeu du triangle quand c'est vraiment important dans la vraie vie.
Connaissez-vous la loi de Godwin ? J'ai découvert cette loi tout récemment. En voici une illustration personnelle qui ouvre aussi une opportunité.
Une petite tentative de manipulation ordinaire vécue
La semaine dernière, un inconnu m'aborde sur un réseau social (LinkedIn) pour me faire participer à une réunion. Les détails des multiples messages dont il me bombarde ensuite ne cadrent pas. Le stratagème habituel que vous connaissez peut-être sous le nom de "pied dans la porte" (expression commune appliquée au domaine commercial et qu'ont approfondie les psychologues sociaux Joules et Beauvois, voir: Petit traité de manipulation à l'usage des honnêtes gens) est évident. Je creuse un peu avec l'idée de décliner le rendez-vous. Je reçois en retour des bordées de messages injurieux et menaçants et finalement, je me retrouve traité d'ignorant intolérant et raciste et à deux reprises assimilé, entre autres, à un "nazi". Stop, ça y est j'ai décroché la timbale !
La loi de Godwin
Juste un mauvais plaisant à oublier bien vite pensez-vous comme plusieurs de mes amis (mais qu'allais-je donc faire dans cette galère !). Sans doute. Pourtant, je voudrais maintenant partager la petite découverte que j'ai faite grâce à ce fâcheux. Cette injure, "nazi", nous la rencontrons dans certains mauvais débats et bien plus encore sur les forums internet. Mike Godwin, administrateur de la fondation wikimedia, en a tiré une loi. Celle-ci dit que, dans les échanges internet, plus ceux-ci durent, plus la probabilité est forte que celui des deux qui se trouve impuissant à faire valoir son point de vue traite l'autre de "nazi". En voici un résumé illustré:
Ouf, je ne suis donc pas seul au monde ! Et cela a dû vous arriver aussi. C'est trivial, il suffit de ne pas répondre, pourquoi s'en soucier ainsi ?
En quoi sommes-nous concernés par la loi de Godwin, au delà du spam ?
La loi de Godwin me rappelle cette citation d'Asimov (auteur de romans de Science Fiction, de entre autres, Le cycle de Fondation, I : Fondation
, "I Robot"... photo à gauche):
"la violence est le dernier refuge de l'incompétence".
Le plus intolérant, rencontrant son incapacité à communiquer, veut faire taire l'autre par l'exercice d'un pouvoir de coercition quelconque: la force, l'autorité ou ... au nom-même de la tolérance, de la démocratie et du droit. Sur le net, à la télé, en classe, au bureau, en famille ... très classique !
L'intéressant, c'est que le phénomène est rendu plus aisé à observer par la facilité à entrer en contact que permet le net et par le sentiment d'impunité qu'il procure. Dans la "vraie" vie au contraire, la présence physique est un rappel subtil que la violence physique sous-jacente peut éclater à tout moment ce qui plaide le plus souvent heureusement, en société, pour la politesse et la modération. Du coup, diverses couches d'insincérité nous masquent le phénomène.
Apprendre !
Il importe de se prémunir des fâcheux et des escrocs du net en filtrant les messages entrants et en coupant court quand le filtre est franchi. Bien sûr. Or, il ne s'agit pas seulement d'une violence nouvelle et bénigne à classer dans les inconvénients des nouvelles technologies. Et s'il s'agissait d'une expression simplement désinhibée par le net, d'un fonctionnement humain naturel ? L'écart entre cette violence-là et les autres, ne serait pas une question de nature mais de degré !
Nous pouvons décider de nous en isoler. Nous pouvons aussi choisir de voir cette évolution comme une opportunité d'observation privilégiée et gratuite nous permettant de développer des comportements réellement tolérants ET fermes. (Nous verrons lesquels au prochain article).
Voici venue l'occasion de vous parler d'une autre forme d'écriture que j'ai entreprise depuis Septembre. Celle du commentaire. L'article suivant est un exemple de commentaire que j'ai publié sur Amazon au moment de la sortie du dernier livre de Thierry Lamarque et de Martine Story du cabinet Althéo sur la négociation d'une reprise d'entreprise: Reprise d'entreprise : Tout pour réussir votre négociation
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Un livre adapté, précis et utilement bienveillant
J'ai vraiment plaisir à recommander cet excellent ouvrage qui fera progresser le repreneur (et aussi le cédant, s'il veut bien en prendre le temps). Ancien repreneur, familier des techniques de négociation et de médiation, je trouve ce livre adapté, précis et utilement bienveillant.
Il est le résultat d'une observation faite sur de vraies situations par des spécialistes alliant le vécu de la reprise de PMEs à une approche pragmatique des sciences humaines adaptées à ce contexte. L'angle ressources humaines est souvent un alibi ou un incontournable vite oublié dans les situations à forts enjeux, où comme dans la reprise, s'échange beaucoup d'argent et où se jouent rien moins que la suitebde plusieurs vies ainsi que l'avenir de pas mal de personnes liées au sort de cette négociation (familles, employés ...)
Des points d'appui réels et non l'enfumage habituel
Avant d'entrer dans le vif du sujet, un contexte réaliste est décrit. Et c'est un soulagement car la reprise souvent présentée depuis quelques années comme un eldorado pléthorique n'est ni simple ni si courante pour un repreneur individuel. Avec en deux pages un passage sur l'impact de la crise qui présente une chose dont les cédants ne sont pas plus conscients (et même moins) que le repreneur: la fracture de la valorisation ... et la nécessaire recherche des activités résilientes pour le repreneur.
La négociation et ses déterminants sont paradoxalement souvent réduits aux audits et aux discussions sur le prix. Pas dans ce livre. On y retrouvera avec profit les thèmes et techniques du Harvard Negociation Project non pas paraphrasés mais appliqués et même positivement affinés.
La typologie des négociateurs déclinée sur le cas du repreneur et sur celui du cédant dépasse et affine par exemple l'approche des doux et des durs de Ury et Fisher dans Comment réussir une négociation. J'ai particulièrement aimé le paragraphe de la double asymétrie des négociateurs et du double deuil. On peut aller plus loin mais cette approche est suffisante pour bien poser le problème particulier à la reprise d'entreprise.
On appréciera aussi le passage par la théorie des jeux pour nous amener avec réalisme à considérer ce que l'on présente trop souvent comme la recette miracle à savoir la négociation "gagnant-gagnant". La problématique de la manipulation n'est pas éludée. On regrettera peut-être que ne soit pas abordées les conséquences du "vers dans le fruit" et les glissements malheureusement fréquents vers le dol et l'escroquerie mais c'est là un autre sujet (connexe).
Une méthode appliquée
Les auteurs proposent une méthode "TRESOR" originale dérivée de la recherche des alternatives (MESORE) et des options chères aux négociateurs pré-cités mais bien adaptée au contexte de la reprise. On appréciera aussi les considérations sur la négociation en équipe et sur le rôle que j'ai découvert comme étant fondamental du conseil acheteur et que pratiquent les auteurs mais sans survente. J'aurais peut-être plus insisté encore sur la préparation de la négociation au delà de la "négociation de la négociation" toutefois très bien vue dans cet ouvrage. Un mot pour saluer, à la fin, le rappel sur l'utilisation possible de l'analyse transactionnelle et de la PNL mais sans excès. Il me reste à peine à ajouter que l'un des rôles du conseil acheteur pourrait être la focalisation sur le décryptage fin des mots et du paralangage (évoqués aussi) car c'est à partir d'eux que peuvent se déceler les "vers dans le fruit" dont je parlais.
L'importance de savoir négocier
Le tout est bien structuré, facile à lire et émaillé de cas anonymisés mais réels. Je finirai par une citation qui n'est pas ici une déclaration de principe mais un facteur clé de succès:
"(la relation interpersonnelle) sera d'autant plus pérenne qu'elle aura pour fondement le respect, l'empathie et la bienveillance et qu'elle prendra en compte les attentes légitimes des deux parties".
N'oublions jamais qu'il faut être deux pour négocier. Bien sûr, nous ne sommes pas tous concernés par la reprise d'entreprise. En revanche, nous sommes tous concernés par la négociation et encore plus par la relation dans un contexte à fort enjeu qui sont mes sujets d'écriture suite aux impostures que j'ai affrontées.
En attendant la sortie de mes propres ouvrages, je dis bravo et bonne chance à ce livre.
Pour l'heure, vous pouvez retrouver le commentaire ici. Et si vous le trouvez "utile" , vous pourrez voter sur le site d'Amazon.fr en cliquant sur la case "utile" en bas du texte pour encourager les auteurs et le commentateur.
Voici un brin d'actualité qui me permet de vous faire découvrir les indégivrables
Il s'agit d'un jeune auteur, collaborateur du monde.fr qu'une amie vient de me faire connaître. Ce sujet n'est pas dans la logique de ce blog, je n'en dirai donc rien. Cependant, le dessin et le titre de la série me semblent suffisants !
Donnez-moi votre avis, j'ai a priori l'intention d'en passer d'autres.